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PLUS RESPONSABLE !

UNE UTILISATION DE L'ÉLECTRICITÉ...

by Guillaume Resin

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Depuis quelques années, EDF travaille avec la ville de Lyon, la Métropole et la Région pour réduire la consommation d’énergie lors de la Fête des Lumières. Ce sont les technologies et les innovations qui profitent de ces efforts. L’électricité est l’élément indispensable qui les fait briller.

Que deviendrait la Fête des Lumières sans la principale intéressée ? La lumière est bien évidemment l’élément central de l’événement. Sans ça, tout serait bien sombre (c’est le cas de le dire). La Fête des Lumières ne serait pas l’un des événements festifs les plus fréquentés du monde (derrière le Kumbh Mela en Inde, le Carnaval de Rio et l’Oktoberfest de Munich). Pionnière en matière d’éclairage public, Lyon a initié dès 1989 un Plan Lumière, le tout ayant logiquement un impact sur le fonctionnement technologique des œuvres. Avec son éclairage urbain, la capitale des Gaules a la volonté de réduire son empreinte écologique. Depuis la première Fête des Lumières en 1989, environ 370 sites de la ville ont été mis en lumière. Un chiffre qui continue d’augmenter, sans pour autant accroître toute forme de pollution. « On éclaire plus, mais on dépense moins d’énergie et on ne pollue pas l’environnement par une lumière qui part dans tous les sens », explique Jacques Longuet, délégué régional d’EDF dans la région Auvergne-Rhône-Alpes.

LES NOUVELLES TECHNOLOGIES AU COEUR DES AMBITIONS ÉCOLOGIQUES

« Tout est mis en œuvre pour que la Fête des Lumières soit un peu plus propre », rajoute-t-il. Le maire de la Ville, Gérard Collomb, l’a également signalé lors de la présentation de l’événement. On dénombre 650 000 kWh d’économies d’énergie par an. Pour les artistes et toute l’organisation, il faut rester dans l’ère du temps et suivre les nouvelles technologies. « Aujourd’hui, l’utilisation des nouvelles technologies dans la lumière avec les LEDs et le numérique, permet d’avoir une meilleure empreinte écologique en général. Nous n’avons pas cette pollution au sens voute céleste, cette lumière qui part de tous les côtés. Avec les lumières LED, ça permet d’avoir une lumière simulée sur les spectateurs et  sur le sol », poursuit Jacques Longuet. Dans la région Auvergne-Rhône-Alpes, EDF fait une lumière décarbonée, c’est-à-dire qu’elle ne comprend pas de CO2. Cela correspond bien aux enjeux actuels, au niveau écologique en France. À chaque nouvelle édition, les technologies de la Fête des Lumières se placent en porte-étendard d’une consommation d’énergie plus propre.

​À regarder aussi : "Entre lumière et environnement !"

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